Quelques citations de Pema Chödrön, une moniale bouddhiste dont je suis entrain de lire un ouvrage.
« We habitually erect a barrier called blame that keeps us from communicating genuinely with others, and we fortify it with our concepts of who’s right and who’s wrong. We do that with the people who are closest to us and we do it with political systems, with all kinds of things that we don’t like about our associates or our society. It is a very common, ancient, well-perfected device for trying to feel better. Blame others. Blaming is a way to protect your heart, trying to protect what is soft and open and tender in yourself. Rather than own that pain, we scramble to find some comfortable ground.»
« Généralement, nous construisons une barrière appelé « reproche » ou « faute » et qui nous empêche de communiquer réellement avec les autres, et qui nous fortifie dans notre conception de ce qui est juste ou de ce qui est mal. Nous faisons cela avec les personnes qui sont les plus proches de nous et nous le faisons auusi avec notre système politique, avec toutes sortes de choses que nous n’aimons pas dans notre société. C’est n’est qu’un moyen très commun, très ancien et parfait pour essayer de se sentir mieux. Reporter la faute sur les autres. Reprocher aux autres c’est le moyen de protéger notre cœur, essayer de protéger ce qui est doux et ouvert et tendre en nous-même. Au lieux de porter cette souffrance, nous nous disputons pour trouver une raison plus confortable à cette souffrance. »
« If we learn to open our hearts, anyone, including the people who drive us crazy, can be our teacher. »
« Si nous apprenons à ouvrir nos cœurs, n’importe qui, même les gens qui nous énervent peuvent être nos professeurs. »
« A further sign of health is that we don’t become undone by fear and trembling, but we take it as a message that it’s time to stop struggling and look directly at what’s threatening us. »
« Un signe encourageant de bonne santé est quand nous ne sommes plus tremblant et défait par la peur, mais que nous la prenons comme un message qu’il est temps d’arrêter de lutter, et de regarder directement vers ce qui nous fait peur. »