Métaphore de la vieillesse

La Vieillesse est comme un chagrin d’amour.
Au début, c’est la tendresse d’une maîtresse qui montre toute son adresse de duchesse dans les jeux de l’amour. Puis, la tigresse se réveille et sans finesse, on profite de la souplesse de la gonzesse. Vient la fin des caresses et la perte de vitesse : cette traitresse vous quitte pour un autre et elle vous laisse sans plus aucune allégresse.


L’ivresse des sentiments est devenue une petitesse des émotions qui confine à la paresse des cœurs. La diablesse s’en est allée et toute la joliesse de l’existence est fanée. Alors, il ne vous reste plus que tristesse et sagesse qui remplacent la jeunesse.
Cette drôlesse qui fut la papesse de vos jours et qui s’est enfuit, la scélérate, avec ce qui restait de vos richesses.


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