Un peu de philosophie pour changer ! Mais celle de Twin Peaks de David Lynch. Voici l’introduction de l’époside 6 de la saison 1 de la fameuse « femme à la bûche » (Log Lady). C’est toujours une métaphysique un peu embrouillée, mais tellement savoureuse. « Beauty is in the eye of the beholder. Yet there are those who open many eyes. Eyes are the mirror of the soul, someone has said. So we look closely at the eyes to see the nature of the soul. « Sometimes when we see the eyes – those horrible times when we see the eyes, eyes that … that have no soul – then we know a darkness, then we wonder: where is the beauty? There is none if the eyes are soulless. » « La beauté réside dans les yeux de celui qui l’apperçoit. Il y a ceux qui ouvrent beaucoup les yeux. On dit souvent que les yeux sont le miroir de l’âme. Alors nous examinons de très près les yeux pour voir la nature de l’âme. Parfois, lorsque nous regardons les yeux – ces instants terribles quand nous voyons les yeux, ces yeux… qui n’ont pas d’âme – alors nous savons que ce sont les ténèbres, alors on se demande, « où est la beauté ? » Il n’y en a pas si les yeux n’ont pas d’âme. »
Un lac au Tibet, miroir de l’Ame du Monde