Je Cioranise toujours quand il faut
« Déchets de tristesse. Soudain, en deçà de tout, je glisse vers le point d’inexistence de chaque objet. Le moi : une étiquette. Parallèle à mon visage, je me mire dans mes regards. Chaque chose est autre, tout est autre. Quelque part, un œil. Qui m’observe ? j’ai peur, et puis je suis extérieur à […]
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